lundi 5 janvier 2009

Lu à la BD


Lu dans le roman illustré par Tardi , « le serrurier volant » de Tonino Benacquista quelques phrases bien senties, drôles ou qui donnent à réfléchir…

« Il se demandait souvent s’il aimait le beau parce qu’il était rare ou le rare parce qu’il était cher. »
« -Je n’ai rien à proposer, je ne demande rien, je ne nuis à personne, je suis content de ma vie, je n’ai pas honte de mes joies simples, je veux juste qu’on me foute la paix. C’est trop demander ?
-Tu oublies que dans toute équation il y a un élément fondamental, mon pote : c’est l’inconnue. »
« Depuis longtemps déjà, il s’était débarrassé de l’envie de devenir riche. C’était, selon lui, la première condition du bonheur. »
« Le soir, ils s’étaient changés pour aller dîner à Paris, dans un restaurant du 14ème qui proposait un buffet gigantesque, une infinité d’entrées chaudes et froides, de légumes assaisonnés de cent façons. C’était ça le vrai luxe, la variété, pas les mets sophistiqués. »


144 pages vite avalées, nous le conseillons à ceux qui ont pris la bonne résolution de se mettre à la lecture en 2009 , et aux autres.

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